Furano ... Une première expérience de température exécrable !
Furano, Hokkaido nord
11 - 13 juin 2018
Environ 26 000 habitants
LOGEMENT
*** Hostel Tomar : 41$ cad... Dortoir capsule, salle de bain collective, eau chaude, cuisine et salon, wifi.
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J'avais hâte de découvrir la ville de Furano et sa région montagneuse.
Malheureusement, après mes premiers dix jours ensoleillés, Furano fut le début d'une autre série de journées de ciel gris, de brume et d'averses et d'orages. Des journées pas mal moins intéressantes pour les visites.
Mais comme je le dis souvent, la température est la partie d'un voyage qu'on ne contrôle pas... il nous faut apprendre à jouer avec.
Le trajet de Wakkanai à Asahikawa se fit sous le soleil, mais à partir d'Asahikawa, plus on approchait de Furano, plus le ciel se couvrait, et c'est sous la pluie que je suis arrivé à Furano en fin d'après-midi.
Je m'installai à l'auberge en espérant une meilleure température pour le lendemain.
Sur la route ... De Asahikawa à Furano en train |
L'arrivée à Furano
À Furano, j'avais dans mes plans deux visites : d'abord, la ferme Tomita, une immense ferme horticole reconnue pour ses nombreux champs de fleurs de toutes les espèces, et une virée vers les hauts sommets du Parc national de Daisetsuzan.
Malheureusement, la journée suivante en fut une d'averses et d'orages. Donc pas question de faire quelques visites que ce soit. Ce fut ma première expérience de ce genre, du moins pour ce voyage-ci : j'en ai profité pour finaliser mon trajet des derniers 15 jours de mon voyage au Japon et effectuer toutes mes réservations de train de même que celle de mes hôtels.
Le lendemain, au lever, le ciel était toujours gris, mais sans pluie. J'ai donc décidé de prendre la chance de pouvoir faire mes visites sans avoir à endurer la pluie.
Je suis donc parti tôt le matin en train pour aller visiter la ferme Tomita. Même si on en n'était qu'en début de saison, certains secteurs de cette immense ferme étaient déjà en fleurs. Seule une fine bruine est venue nous accompagner de temps à autre. Je n'ai donc utilisé mon parapluie qu'à de rares occasions.
À la ferme Tomita |
Le train touristique qui nous mène au site
Une marche de la gare à la ferme
À la ferme Tomita
En revenant vers la gare, d'autres maisons avec leurs jolis jardins
De retour à Furano, en voyant le ciel se dégager peu à peu, je décide de tenter ma chance et de de prendre le bus pour me rapprocher des hautes montagnes que j'avais vues, du train, lors de mon arrivée à Furano.
Je comptais y passer quelques heures avant de revenir en ville. Mais c'était sans compter sur la température.
En effet, plus on se rapprochait de la plus haute de ces montagnes, le mont-volcan Tokachi (2 077 mètres-dernière éruption en 2004) plus il y avait de la brume et moins on voyait, sauf la neige qui était encore présente dans les sous-bois.
En arrivant au terminal de bus, j'ai donc décidé de rebrousser chemin et de revenir en ville, le temps de prendre en photo un immense mur de neige presqu'entièrement enveloppé par la brume.
Dans la région montagneuse de Furano en bus |
Sur la route vers les hauts sommets du Parc national
Dans le Parc, plus on monte, moins on voit !!!
De retour à Furano
Après ces deux jours sous un ciel nuageux, j'avais hâte de poursuivre ma route vers Abashiri, à l'est de l'île de Hokkaido.