Kyoto (3) ... Au nord du quartier des monts Higashiyama

Publié le 23 août 2016 par Jacques B de Jonquière (Québec) à 09:30

Kyoto, Japon (Honshu)

02 - 06 juin 2016

Environ 1 047 000 habitants

Le jardin du Temple Ginkaku-ji, classé à l'UNESCO

Aujourd'hui, ce sont les temples établis au nord des "Montagnes de l'Est" que j'entends découvrir.

Après avoir visité le Temple Ginkaku-ji classé à l'UNESCO, je me rends au temple suivant en empruntant le "sentier des philosophes", qui tire son nom d'un philosophe japonais, Nishida Kitaro (1870-1945), qui avait pris l'habitude de s'y promener chaque jour.

Cette quatrième journée de visite, me permettra de plus d'expérimenter à nouveau, et, à deux reprises, la gentillesse du peuple japonais.

Je ne suis pas du tout doué pour l'orientation et je ne compte plus le nombre de fois où je me suis perdu même si j'avais une carte.

Aujourd'hui, j'avais décidé de me rendre à deux temples situés hors du circuit le long du Higashiyama. Je quitte donc le "sentier des philosophes", mais ça ne prend pas grand temps pour que je me perde dans les ruelles qui devaient me conduire aux temples Shinnyo-do et Kurodani.

J'aperçois alors une dame qui se préparait à partir en mobylette. Je m'approche d'elle et lui demande grâce à ma carte de m'indiquer comment m'y rendre. Ne parlant pas anglais, elle m'explique par signes le chemin. Je ne comprends pas tout, mais je me dis que je demanderai de nouveau un peu plus loin. Je la remercie et je repars.

Quelques minutes plus tard, je l'entends arriver avec sa mobylette. Elle s'arrête et débarque de sa mobylette et me fait signe de la suivre. Elle monte avec moi jusqu'en haut de la colline où se trouve le Shinnyo-do. Puis, un peu plus loin, elle m'indique le chemin pour me rendre à l'autre temple. Et avec ungrand sourire, elle me quitte pour retrouver sa mobylette.

Après ma visite, je veux revenir au pied de la montagne pour continuer ma visite, et, de nouveau, je me perds dans les ruelles du quartier. Et de nouveau, je dois m'informer pour m'y retrouver. Je m'adresse donc à une autre dame, qui, cette fois, parle un peu anglais. C'est une immigrante brésilienne. Elle me dit alors de la suivre et me conduit jusqu'au Temple Eikan-do.