Bangkok (18) ... Des retrouvailles après 3 ans
Bangkok, Thailande
11 - 13 janvier 2014
Environ 8,280,925 habitants en 2010
Ces dernières années, j'ai choisi de partir dès le début de janvier pour éviter les pires froids de l'hiver québécois qui sévissent habituellement en janvier et en février.
Mais cette année, changements climatiques obligent, c'est depuis la mi-novembre que nous avons subis froid polaire, vents, verglas, etc. C'est donc depuis la mi-novembre que que je me dis avec Clémence Desrocher que "J'hais l'hiver" et que je rêve de foutre le camp !
Mais j'ai dû attendre jusqu'au 8 janvier !!!
Un départ sous inquiétude
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Le huit au matin, j'avais deux inquiétudes.
La première concernait mon vol du 9 au matin : allais-je pouvoir partir, car, à l'aéroport, de nombreux vols étaient annulés ou retardés ?
La seconde était plus subtile au début : en me réveillant le 8 au matin, mon nez m'avait donné signe de vie en laissant écouler un peu de sang sur mon oreiller durant la nuit.
Je prends le bus à 9h10. Avant d'arriver à Quebec, mon nez a nouveau décidé de s'exprimer en laissant écouler du sang que je m'efforce avec succès d'arrêter.
Jusqu'à Montreal, pas de problème. Des amis m'ont invité à manger. Je me rends donc chez eux en métro. Après une soirée des plus agréables, on retourne au métro, et ne voilè-t-il pas que je recommence à saigner du nez, et cette fois, un saignement plus inquiétant. On retourne à la maison des amis et je réussis enfin à mettre fin au saignement. Mes deux amis décident de me ramener à l'hôtel en auto. Il est environ 23h30.
Je dors quelques heures, puis je me rends au terminal de bus tout à côté pour y prendre mon bus pour l'aéroport.
A l'aéroport, une heureuse surprise : pas de retard ni annulation pour mon vol. Je pars donc tel que prévu a 7h10 pour New York.
Au départ de Montréal, on déglace les avions
La superbe arrivée à l'aéroport JFKennedy de New York
Pour le nez...silence radio... jusqu'au vol New York / Tokyo, où, de nouveau, il se manifeste à moi. Une hôtesse m'apporte de nombreux papiers et même de petits linges mouillés. Après une dizaine de minutes, tout est sous contrôle. Mais je commence a envisager une visite dans une clinique une fois arrivé à Bangkok.
Le reste du voyage se fera sans encombre jusqu'à quelques heures de mon arrivée à Bangkok. Une dernière poussée sanguine se fait sentir, mais, cette fois, en très petite quantité.
Depuis mon arrivée à Bangkok, mon nez se fait très discret...mais je continue à le surveiller de près.
Tout ça a suscité en moi la pensée suivante.
Je pense que mon nez, tout comme moi, haïssait le froid et qu'il me disait : " Allez, Beaulieu, fous le camp...moi aussi j'en ai assez, mes vaisseaux sanguins ne peuvent plus le supporter, ils craquent sous le froid."
En fait, lui et moi, on était sur la même longueur d'onde.
Des retrouvailles et une nouveauté
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L'arrivee à Bangkok
De l'aéroport jusqu'à mon hôtel sur Rambuttri, il y avait beaucoup de barrages policiers, vue la situation politique ici mais en taxi, pas de problème...on nous laissait passer.
Je suis arrivé à l'hôtel à 1h00 du matin.
L'entrée de mon hôtel, le Green House sur Rambuttri
Après m'être installé, je n'ai pu m'empêcher d'aller prendre une grosse bière sur Rambuttri, presque vide, puis je suis allé me balader sur Khao San pleine de monde.
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Mon premier repas : renouer avec la nourriture thaïlandaise, le Pad Thai
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Khaosan / Rambuttri en soirée
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UnTemple bouddhiste au coeur du secteur Khaosan / Rambuttri
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Et avant de quitter Bangkok, un dernier repas à la québécoise au Snack Bar BBQ à une dizaine de minutes de mon hôtel
Le Snack Bar BBQ appartient à un québécois bien connu chez nous
pour ses voyages autour du monde, Bruno Blanchet.
Au lieu de la "poutine", j'ai préféré prendre un "hot chicken".
Demain matin, le 14, je pars pour Kamphaeng Phet en bus.
À suivre ...
Bangkok (19) ... Un début de voyage sous le signe de la rencontre