Cha-Am ... Une plage pour thaïlandais et pour nous aussi !
Environ 50 000 habitants
On prend quelques minutes de repos de son travail...
En 2009, j'avais passe 5 jours a Cha-Am et je ne m'y etais pas lasse. En effet, parmi les villes que j'ai visitees et qui possedent une plage, celle de Cha-Am est une de celles que j'ai le plus appreciee.
Pourquoi ?
Ce n'est pas d'abord pour la beaute de ce secteur-plage de la ville de Cha-Am que l'on y vient. Quoique la longue rue qui longe la mer d'un cote, et qui regroupe tous les commerces de l'autre n'est pas vilaine du tout. En tout cas, s'y promener a pied ou en bicyclette a l'ombre des arbres qui la bordent est des plus agreable, car on y a toujours une jolie vue sur la mer.
Ensuite les couts de logement sont super interessants : 300 bahts pour une chambre avec air climatise, eau chaude, television avec TV5 et un frigo nous permettant d'y faire refroidir toutes les boissons qu'on veut. En 2016 : 450 bahts, avec wi-fi.
Et une multitude de restos pour tous les gouts et tous les prix. En plus, le long de la rue, plusieurs etals de nourriture nous sont offerts, et des vendeurs ambulants se promenent sur la plage en nous offrant des poissons seches, des massages ou diverses bricoles.
Au centre du village-plage, une grande place y est installee.
Malheureusement on ne peut profiter ici que des effets du coucher du soleil, car nous sommes sur la cote est du Golfe de Thailande.
Mais c'est surtout pour la plage elle-meme qu'on vient visiter Cha-Am.
Ce qui est particulier ici, c'est qu'en debut de semaine, la majorite des visiteurs sont des touristes blancs dont la moyenne d'age fait surement plus de 50 ans.
Mais a partir de mercredi soir, les bus arrivent de la ville (Bangkok n'est pas tres loin), des bus remplis de jeunes, et la, la moyenne d'age baisse considerablement et l'origine des touristes change aussi...les thais, jeunes et plus ages, occupent desormais le territoire.
Et la vie s'anime alors peu a peu.
On se rencontre pour boire et manger ensemble
en famille ou entre amis
A la brunante, on lancent quelques lignes...
